Poitiers, 1984 — 1989

Atelier-Galerie : “Des Licéarium”

Denise Sabourin ouvre son atelier qui devient une galerie : “Des Licéarium”.




Elle a fait des expositions dans de nombreux pays : Allemagne, Algérie, Australie, Canada, Chine, Congo, Corée du Sud, France, Gabon, Grèce, Japon, Maroc, Polynésie, Portugal, Syrie, Turquie...

Elle a collaboré avec différentes personnes pour réaliser ses œuvres.




De nombreux artistes ont exprimé leur amitié à Denise Sabourin :


Jacques Villéglé
Raymond Hains
Daniel Humair
Denise Colomb
Michel Granger
Mose
Viallat
André Elbaz
Jeanne Champion
lmaë
Matsutani
Sinichiro Harusawa
Modchida


Tous ont exposé dans son atelier de Poitiers.







Exposition de Denise Sabourin
Travail et échanges artistiques soutenus avec Matsutani.







Croquis de l’installation faite dans “Des Licéarium”.


Dans l'atelier avec Imaï et le violoncelliste Minéo Hayashi :







Exposition de Denise Colomb en présence de Madame Chenieux-Gendron et de José Pierre :






 

Denise Sabourin a fait une exposition au CACC de Niort en 1987 :







Exposition au CAC de Niort et au Pilori 2014.




Anne-Marie Jougla Barrès prépare la présentation du travail artistique de Denise Sabourin dans son atelier.




Avec l'écrivaine Geneviève Catalayud dans l'exposition à la Fondation DANAE de Cognac.

Ch. Gendron
Conservateur des musées de Niort
“Dire que la démarche de Denise Sabourin est à la fois courageuse et originale va de soi. Face à ses œuvres, la première impression, dont on dit qu'elle les la meilleure, est celle d'une peinture spontanée où le geste prime au travers des signes et des formes abstraites qui ont la séduction des calligraphies orientales. Ce sont bien là les deux aspects principaux de son travail : écriture, mais dépourvue d'un sens littéral, et adhésion évidente à un art et à une philosophie issus d'un Extrême-Orient dont on sait que Denise Sabourin est une passionnée.

L'historien d'art la rattacherait sans au- cun doute à ce courant esthétique dont Georges Mathieu est l'un des pères. Elle est aussi la parente de Hans Hartung, de

Debré et tout autant d'Henri Michaux. Comme certain d'entre eux, elle charge son pinceau d'une dose de séduction et de raffinement qui passe par un choix sub- til de couleurs qui, liées au ductus de ses signes, donne à ce nouveau langage toute sa force et sa paix.

On reconnait bien ici la volonté sous- jacente de l'artiste d'amener les specta- teurs vers une zone de plénitude par le jeu complémentaire de la couleur et du signe à l'intérieur de l'espace-tableau. Fort heu- reusement pour elle, cette peinture-là vise moins à décorer qu'à soulager les êtres de leur pesanteur.”